Alors que les employés retournent à leur lieu de travail en plus grand nombre cette année et que l’inquiétude au sujet de la transmission de virus et des infections persiste, les gestionnaires des commerces et d’installations continueront de se concentrer sur les pratiques d’hygiène et de distanciation physique ainsi que sur l’amélioration des protocoles et normes de nettoyage et de désinfection commerciaux dans les milieux de travail publics et intérieurs partagés.
Afin de procurer la tranquillité d’esprit, et en réaction à la demande de normes de nettoyage et de désinfection plus rigoureuses, les entreprises de nettoyage commercial ont recours à des technologies comprenant – entre autres – les pulvérisateurs électrostatiques pour désinfecter les surfaces de façon efficiente et efficace, plus particulièrement dans les entreprises aux opérations d’envergure et celles qui comprennent des endroits difficiles d’accès.
Il y a également un effort renouvelé pour l’utilisation de produits antimicrobiens dans les milieux de travail partagés. Alors que les produits antibactériens sont conçus pour tuer ou empêcher la croissance des bactériens, les produits antimicrobiens tuent ou empêchent la croissance des micro-organismes – y compris les bactéries, les champignons et les virus – et peuvent procurer une protection plus durable s’ils sont appliqués correctement.
Le programme PROTECTION-3-AVANCÉEMD de ServiceMaster Clean assure des services complets de nettoyage et de désinfection, et comprend l’utilisation de produits antimicrobiens afin de fournir une protection continue et préventive aux installations publiques et commerciales, peu importe leur taille. Un élément central du programme est le test ATP, une technologie utilisée dans les milieux des soins de la santé depuis des décennies qui mesure la quantité de matières organiques sur une surface, avant et après le nettoyage et la désinfection.
La qualité de l’air intérieur (QAI) est une autre grande inquiétude dans le maintien de la sécurité d’un lieu de travail, surtout durant les mois d’hiver alors que les fenêtres sont fermées. Parce que les virus respiratoires et de la grippe sont principalement transmis pas des particules en suspension dans l’air, il est impératif de maintenir l’air intérieur propre dans les milieux de travail partagés de façon à aider à éviter la transmission des infections.
Les gestionnaires et les employeurs doivent réévaluer leurs ressources afin d’assurer une bonne ventilation de l’air intérieur. Il ne faut pas seulement aborder et contrôler la question des polluants courants comme la poussière, le pollen, les bactéries, les composés organiques volatils (COV), les poils et squames d’animaux, les acariens et la moisissure, mais aussi l’élimination des virus pathogènes qui est maintenant – et aussi – une priorité.
Une pauvre qualité de l’air intérieur (QAI) contribue à l’absentéisme et à la perte de productivité des commerces, et dans cette ère d’augmentation de risques de transmissions des virus respiratoires, les enjeux sont encore plus importants. Des pathogènes comme la COVID-19, ou le simple rhume, existent dans les gouttelettes en suspension dans l’air émises par les personnes infectées lorsqu’elles respirent, parlent, toussent ou éternues, et peuvent rester longtemps en suspension dans l’air dans des espaces intérieurs mal ventilés.
Alors que les propriétaires d’entreprises et les gestionnaires d’installations s’affairent pour rouvrir et procéder à la transition des employés de retour au travail pour établir des protocoles efficaces pour nettoyer, désinfecter et contrôler la qualité de l’air, ils doivent rester à l’affût des lignes directrices et des recommandations sur la santé du CCHST (Centre canadien d’hygiène et de sécurité au travail). 1
La diligence appropriée responsabilise les employeurs de prendre toutes les précautions raisonnables pour prévenir la transmission des maladies dans les milieux de travail intérieurs, y compris l’évaluation des risques de la ventilation de l’air ainsi que le nettoyage et la désinfection des surfaces d’usage très courant où les pathogènes ont tendance à se loger (poignées de porte, boutons d’ascenseurs, téléphones partagés, etc.). Les employeurs doivent aussi encourager le personnel à rester chez eux lorsqu’ils sont malades, ou leur permettre de travailler de la maison dans la mesure du possible. 2
Afin de réduire le risque de transmission des maladies et d’atteindre les bonnes normes de protection de santé et de sécurité pour vos employés et clients, ayez recours aux ressources du Service de la santé publique disponibles3 et cherchez une entreprise professionnelle de nettoyage et de désinfection commerciaux munie des connaissances et de l’expérience requises pour fournir les produits et la technologique de nettoyage et désinfection les plus récents.
1 https://www.ccohs.ca/outbreaks/